741 - Lignes (arbitrairement) choisies
de Nathalie AZOULAI, Titus n’aimait pas Bérénice, 2015 (“Folio”, p. 88) :
« […] [S]es paupières tressaillent encore longtemps sous l’influx de ses nerfs. […]
Et quand il voit la malle hissée sur le carrosse, une artère se coupe en lui. […] [Ê]tre un homme, c’est aussi cela, rester au milieu des heures comme un piquet de bois dans les vagues. »