801 - S i c i l i a n a (10)

Publié le par 1rΩm1

 

S i c i l i a n a

 

 

PARIS - SICILE - PARIS

 

 

Journal extime (7 - 21 avril 2017)

 

 

10

 

18 avril

Je passe une mauvaise nuit, livré à des soucis que j’aurais aimé oublier.

 

Matin

Je prends le train pour Noto, belle ville à la pierre jaune.

 

801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)

Après une première déambulation ainsi qu'une incursion dans les églises qui bordent le Corso Vittorio Emanuele (la Chiesa di San Francesco d’Assisi all’Immacolata, la Chiesa di Santa Chiara, le Duomo, la Chiesa di San Domenico), je déjeune dans une trattoria où servent des jeunes gens bien sympathiques, mais peu opérationnels.

Une famille de Français s’installe à une table toute proche, dont les enfants n’ont envie que de pizza : tout ce petit monde s’en va donc, me rendant à moi-même dans cette salle que j’occupe seul à nouveau.

Mon plat au tomates et aubergines est très bon, quoique baignant un peu dans l’huile, tout comme le lapin qu’on me sert ensuite, très bien préparé à son tour.

 

Après-midi

Je sillonne à plaisir l’escarpement des rues de la ville historique, le plus souvent le nez en l’air.

 

801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)

L’on rénove un peu partout, les travaux étant nombreux. La ville le mérite.

 

801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)

Je visite aussi l’intérieur du Teatro comunale Vittorio Emanuele,

801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)

le Museo Civico,

801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)

ainsi que quelques autres églises, non sans remettre mes pas dans les précédents.

801 - S i c i l i a n a  (10)
801 - S i c i l i a n a  (10)

 

Soir

Je prends un verre de vin blanc à une terrasse proche de l’endroit où je loge — tout en songeant à T., que j’ai converti — et assoupli peu à peu — à d’autres crus que le bordeaux, mais aussi au blanc.

Les vins — et pas seulement dans les boutiques spécialisées pour les touristes — sont relativement chers. Comme je trouve un peu âpres les Nero d’Avola et autres vins rouges siciliens, et pour éviter toute mauvaise surprise, je préfère me rabattre sur des blancs qui se laissent boire sans qu'il faille les accompagner d'un plat.

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article