1689 - Voyage à Nancy (3)

Publié le par 1rΩm1

 

 

Voyage à Nancy

 

(Work in progress)

 

(3)

 

30 août 2024

Une toute dernière visite en dehors de Nancy est prévue le matin afin de voir la Basilique de Saint-Nicolas-de-Port, que nous avions trouvée fermée l’avant-veille. Judith demande à faire quelques achats dans un magasin de bricolage, ce qui resserre davantage encore notre emploi du temps.

La basilique, cette fois, nous ouvre ses portes.

1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)

En revanche, aucune cigogne n’est visible autour de l’enclos où les volatiles où été sédentarisés. Or, ils étaient nombreux quand nous étions venus, M.-C., Marthe et Paul.

Nous parvenons ensuite à tenir les temps. Je profite de notre passage dans la grande surface dédiée au bricolage pour acheter un abattant WC maintenant que la salle de bains attenante à mon bureau est opérationnelle après que le chauffagiste a installé le jeudi de la semaine précédente un cumulus électrique en remplacement de la chaudière depuis longtemps hors-service dans cette partie de l’appartement — et que j’ai nettoyé les lieux.

Nous achetons ensuite un plat surgelé pour notre déjeuner. Et nous avons le loisir encore de repasser dans le studio meublé que va bientôt habiter Lucien pour que Judith dépose le spot à pince, le néon et la poubelle de salle de bain qu’elle vient de se procurer pour lui.

Nous sommes à 14 heures devant la Villa Majorelle, plus meublée désormais qu’elle l’était quand nous l’avions visitée, Aymeric et moi.

1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)
1689 - Voyage à Nancy (3)

Je les mène ensuite devant la Tour de la Commanderie, les immeubles Ecole de Nancy de l’avenue Foch et de la rue de la Commanderie (nous passons devant celui où j’ai habité durant six ans, puis celui où ma grand-mère maternelle et son second mari étaient commerçants).

Les travaux dans le quartier sont tels que je dois renoncer à les conduire en voiture jusqu’à la gare si je veux être à l’heure pour mon rendez-vous à 15 heures 30 chez le médecin.

Je les dépose non loin du cinéma d’art et d’essai, après des adieux sommaires. Nous nous reverrons de toute façon avant que moins d’un mois se passe puisque je serai le 24 septembre à Paris et dormirai chez Judith et Norbert avant de partir en Italie.

 

 

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