1374 - Dieppe, Dieppe, Dieppe… hourra ! (7)

Publié le par 1rΩm1

 

 

Dieppe,  Dieppe,  Dieppe…

hourra !

Journal extime

(2-8 août 2021)

work in progress

7

 

Vendredi 6 août 2021

Nuit

Nuit agitée, mauvais sommeil, mauvais rêves.

 

Matin

Nous effectuons une visite guidée du Château de Miromesnil en compagnie de sept autres participants.

1374 - Dieppe,  Dieppe,  Dieppe…  hourra ! (7)
1374 - Dieppe,  Dieppe,  Dieppe…  hourra ! (7)

Guy de Maupassant y est né, mais n’a passé là que ses toutes premières années.

Nous nous attardons ensuite dans le beau jardin attenant.

1374 - Dieppe,  Dieppe,  Dieppe…  hourra ! (7)

 

Après-midi

Veules-les-Roses s’avère une jolie petite ville, trop coquette et photogénique cependant pour donner l’envie de la photographi[er], tant et si bien que je renonce à sortir le téléphone portable de mon sac. Nous effectuons toutefois  une  promenade  agréable  à  la  recherche  de  cressonnières  que M.-C. n’avait pas trouvées lors de sa venue précédente avec sa nièce.

Nous poursuivons jusque Saint-Valery-en-Caux.

Je revois le casino, de sinistre mémoire. C’est là, en effet, que R., gagnant coup sur coup ou presque durant toute une soirée, avait amassé un nombre de pièces considérable (sans savoir qu’il pouvait convertir ces espèces sonnantes et trébuchantes en billets, ce qui aurait moins encombré ses poches, ainsi que les miennes, par ces gains mirifiques). De là était née une addiction qui le poussait tous les deux-trois mois à prendre sa voiture pour aller jouer à Vittel ou Amnéville-les-Bains, où, naturellement, il perdait invariablement des sommes importantes.

Je photographie, un peu par plaisanterie, prolongeant ainsi une série entamée depuis le début de mon séjour, les falaises d’Amont

1374 - Dieppe,  Dieppe,  Dieppe…  hourra ! (7)

puis d’Aval.

1374 - Dieppe,  Dieppe,  Dieppe…  hourra ! (7)
1374 - Dieppe,  Dieppe,  Dieppe…  hourra ! (7)

Le souvenir d’avoir couché à cet endroit dans le camping-car emprunté à mes parents est demeuré confus, et je ne suis pas certain d’en déterminer l’endroit exact.

C’est M.-C. qui conduit, et je m’en réjouis parce que j’éprouve d’intenses douleurs, consécutives à la chute de l’avant-veille, dans les côtes, à chacun des ronds-points lesquels, comme partout dorénavant en France, ne manquent pas sur le chemin !

 

Soir, Dieppe

Nous prenons un apéritif dans un bar sympathique au pied du quartier du Pollet.

Le restaurant dans lequel nous dînons ensuite est correct, sans plus.

La soirée est d’ailleurs en partie gâchée pour M.-C. par la pensée qu’elle ne pourra, démunie de “pass sanitaire”, s’autoriser de « sortie culturelle » avant longtemps.

 

 

 

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